On s’observe, on se méprise
toujours sans remords.
On s’écarte, on se déguise,
craintifs et alors?
oh chemin amer pour ceux qui se cachent en tort
On s’embrasse et on salive
pour un bref bonheur.
On éloigne ces gens nocifs
brisant tout honneur.
oh destin cruel pour ceux qui se taisent en pleur
Une morale chaque jour,
un mot violent pour taire.
Une menace sans détour,
ne me touche pas je préfère.
oh mort consensuelle pour ceux qui vivent en peur.