Sauvons-nous, Sauvons-nous du monde inventé
de nos faux soucis au dessus de tout,
superficiels et flous.
Nos plaisirs, et nos cris, étouffent prisonniers
de nos choix fragiles qui nous détiennent tous
nous retiennent et nous poussent.
Tout me semble loin, terrible
on ne s’entend plus
plus une voix dissonante
elles n’interessent plus
Tout me semble loin, terrible
on ne s’entend plus
plus une voix dissonante
elles se taisent et
Seule, une ombre passe, déchue,
Ou en somme nous? je m’inquiete
pour les gens égarés et les âmes perdues
qui se trouvent toutes seules.
Nos vies etouffent nos voix.
Dans le monde dérivé
elles sonnent tout bas.
Nos vies ne sont pas ce qu’on croie
elles s’éloignent de nos vues à petits pas.